Adhérent du CJD Nice Côte d’Azur et dirigeant de SIC, une entreprise de nettoyage industriel d’une trentaine de collaborateurs.
Cela fait depuis 7 ans qu’il est au CJD et après avoir été président de la section de Nice, il a intégré le Comité exécutif du CJD France où il est référent du pilier « s’engager pour influencer ».
Qu’est-ce que tu rêvais de faire enfant ?
Avant de vouloir être avocat, médecin ou ingénieur pour faire plaisir à mes parents, je voulais (paraît-il) ramasser les poubelles. Finalement, avec ma boîte, j’y suis arrivé en quelques sortes !
De quoi es-tu le plus fier dans ton entreprise ?
Je suis fier quand j’arrive à faire en sorte que les salariés de mon entreprise s’épanouissent. Dans mon métier, où les tâches sont à la fois répétitives et pénibles, c’est un vrai défi !
La plupart de mes collaborateurs ont des parcours de vie assez chaotiques, alors quand on peut les aider, quand ils saisissent la deuxième chance qu’on leur offre, je me dis que ma vie a un sens.
Pourquoi le CJD ?
Le CJD est le lieu où je me suis découvert, où j’ai progressé, où je me suis révélé comme chef d’entreprise. J’y ai compris que, dans ma vie, je pouvais être à la fois dirigeant, père de famille et citoyen engagé, sans que l’une des casquettes prenne le dessus sur l’autre.
Que t’as apporté le CJD pendant la crise ?
Avec cette crise, je me suis senti encore plus « en responsabilité » qu’à l’accoutumée, au près de ma section en début de pandémie, ou au National depuis juillet, et j’ai aimé ça : écouter, conseiller, décider, guider pour tenir le cap. J’ai aimé être aux services des autres.