Adhérente du CJD Drôme-Ardèche et dirigeante de l’ASPAS Association pour la protection des animaux sauvages. Son objectif ? Apporter sa goutte, tel le colibri, pour sauver la planète !
Qu’est-ce que tu rêvais de faire enfant ?
J’ai toujours été très proche des animaux. Une passionnée, des livres et documentaires à foison pour nourrir ma curiosité et mon besoin de savoir. Je voulais devenir vétérinaire pensant que c’était une façon de les protéger, de les sauver un par un. Un travail de longue haleine face aux enjeux. J’ai compris ensuite qu’il y avait aussi d’autres actions importantes à faire et peut-être même prioritaire, pour sauver les animaux de manière plus générale, à travers la sensibilisation, les actions juridiques et la maitrise foncière : préserver les espèces et préserver leurs espaces de vie.
De quoi es-tu la plus fière dans ton entreprise ?
Aujourd’hui, je crois pouvoir dire que je suis très fière du dernier challenge réussi grâce à la ténacité et l’engagement de l’équipe de l’ASPAS que j’ai la chance incroyable de coordonner. Mobiliser plus de 20 000 donateurs pour réunir plus de 2 300 000 € en quelques 12 mois, acheter et libérer un terrain 500 hectares de toute activité humaine impactante pour le restituer à la vie sauvage. Un nouveau havre de paix et de quiétude pour la faune et la flore, fruit d’un merveilleux travail collectif et du soutien de milliers de personnes soucieuses d’apporter, elles aussi, leurs gouttes d’eau…
Pourquoi le CJD ?
Parce que j’ai eu la chance de rencontrer un dirigeant engagé, qui plus est, adhérent de l’ASPAS ! J’étais curieuse. Puis je suis allée au petit déjeuner de découverte de ma section. Là j’ai compris que c’était fait pour moi : sortir de l’isolement, partager son expérience, grandir personnellement et faire s’épanouir ses collègues et sa « boîte ». J’ai adhéré en bloc. Bien évidemment, j’ai rempilé cette année !